Vraiment pas drôle pour les résidants de Hollywood Estate
La Presse ce matin traite de l’exil en colère des résidants d’un parc de maisons mobiles en Floride, dont beaucoup de Québécois. Dans notre village de West Palm Beach, nous avions entendu parler de ce scandale. Des gens ont installé des maisons mobiles il y a longtemps, les ont vendues et d’autres les ont rachetées, sur un magnifique terrain de la banlieue de
Hollywood en Floride. Les propriétaires du terrain (on n’est pas propriétaire du terrain dans la très très grande majorité des terrains de camping, on est en location) effectue une reprise de possession sauvage. Aucune sympathie et aucun respect des Séminoles qui veulent récupérer le terrain pour leurs activités. Ils possèdent les casinos.
Une situation semblable est arrivée à mon grand père Arthur à Indian Rocks sur la côte ouest. Quand tu es locataire, tu n’est pas maitre dans ta maison… J’ai vu comment ça s’était passé et c’est une des raisons qui m’ont poussées à acheter un condo. Au moins j’ai droit de parole… Au moins j’ai un titre de propriété… J’imagine que plusieurs des expulsés viendront voir si leur avenir est ici!
Lisez l’article de la Presse.
LaPresseSurMonOrdi.ca – DES CENTAINES DE QUÉBÉCOIS EXPULSÉS – 22 décembre 2012 – Page #1
LaPresseSurMonOrdi.ca – UNE TRIBU DEVENUE UN EMPIRE ÉCONOMIQUE – 22 décembre 2012 – Page #3
Foodtown, une épicerie ethnique à West Palm Beach
Heureux, très heureux, de découvrir par hasard une très intéressante épicerie ethnique tout près d’où nous sommes. Coin Military Trail et 45th. Foodtown.
Très beau choix de légumes et de fruits, de poissons et de viandes. Des allées et des allées pour les produits asiatiques, caribéens, indiens, etc. de la sauce Tom Yum, du basilic pour mes phòs, de la farine de riz pas cher pour mon pain, du tapioca, des agrumes locaux.
J’y ai entendu le créole, car il y a une belle colonie haitienne dans la région. La caissière nous a répondu en français. Pour dire!
Et aussi de drôles d’aliments aussi: des grosses grenouilles vivantes avec de grosses cuisses et de gros ventre, des serpents vivants… Ricardo, qu’est-ce qu’on fait avec ça????
Vraiment à découvrir si vous séjournez !
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Floride – la plage
À la plage de Ocean Reef
Cohen chantait Georges Dor hier soir, rendait hommage à Goerge Dor. Magnifique!
Neige, premières neiges
Recette pour des biscuits aux amandes de type biscotti sans gluten.
- 2 oeufs
- 1/2 t de miel
- 1/3 tasse d’huile d’olive
- 3/4 tasse d’amandes broyées
- 3/4 tasse de farine de riz
- 3 c de bonne de guar
- 1/2 c de cannelle moulue
- 2 tasses d’amandes
- Mélanger les liquides, ajouter les éléments secs puis incorporer les amandes. La machine à pain permet un beau mélange uniforme.
- Déposer la pâte sur une plaque à cuisson recouverte de papier parchemin. Se servir du papier pour rouler la pâte (comme pour une cigarette).
- placer au four pré.chauffé à 350F une quarantaine de minutes. Sortir de four et laisser refroidir le pain dix minutes.
- Trancher en tranches minces puis remettre au four dix minutes.
Les biscuits se conservent sans réfrigération plusieurs jours.
Tremper les biscuits dans du vin rouge (ou du porto) est apprécié par plusieurs!
Soleil d’automne
« Beat Vénération »
« Beat Vénération », traduit par David Jasmin Barrière, reçoit de belles critiques. On souligne même, chose rare, la qualité de la traduction.
Ce roman à deux voix, c’est l’histoire imaginée du dernier road trip de Jack Kerouac, sur les traces de son grand-père après le succès de Sur la route, et, en parallèle, celle d’un jeune homme de l’Ontario modeste des années 1980 fasciné par le mythe de la Beat Generation. Robertson entraîne le lecteur sur les routes d’Amérique, de la Floride Rivière-du-Loup, de l’Ontario à la Nouvelle-Angleterre. Ce faisant, il nous convie à un voyage dans le temps : en revisitant sa jeunesse, ses mythes et ses idoles, il décèle ce qui chez l’adolescent préfigure l’écrivain.
Lire la critique du Devoir: « Ray Robertson fait un slalom plutôt habile entre deux époques et entre deux vies. Il se livre aussi à un exercice de genèse intellectuelle. Comment vient au monde un écrivain ? Quelles correspondances secrètes se nouent ? Car de Jim Morrison à Jack Kerouac et à Nietzsche, de Céline à Bertrand Russell, il n’y a que quelques pas à faire entre les rayons d’une bibliothèque.
Et la chose est trop rare pour qu’on ne la souligne pas : le roman bénéficie d’une intéressante traduction de type Slap Shot (film-culte au doublage de légende). »
Écoutez la critique de Luis Clavis (à partir de la 8e minute) à l’émission « Plus on est de fous, plus on lit » sur les ondes de Radio-Canada.
- Marie-Louise Arsenault: « c’est une rareté qu’un roman est bien traduit.«
- « What Happened Later ?une audacieuse traduction de David Jasmin-Barrière paraît cet automne sous le titre Beat vénération aux éditions VLB? » – Jean Paul Ferland dans le magazine Web Salon double