Madame Joly,
Il y a une difficulté actuellement au Canada quant à la passage des contenus des médias au numérique. On ne tient pas compte formellement de la diffusion par le moyen des flux, ces fameux « streams » qui permettent de lire des contenus vidéos sur l’internet avec un ordinateur ou différents équipements.Pourtant il y a beaucoup de personnes qui utilisent l’internet pour voir leurs contenus télévisuels. Il y a bien quelques flux de médias québécois accessibles à la marge de la légalité, mais peu de contenus stables et officiels.
Le très intéressant Tou.tv bloque malheureusement l’accès à la frontière. Radio-Canada a une offre intéressante et a été dans les précurseurs avec tou.tv. Toutefois Radio-Canada quant à la diffusion des chaînes en direct, il y a une certaine offre sur le site internet, mais qui n’est guère facile.
La radio de Radio-Canada facilite l’écoute sur internet en diffusant des liens de flux mp3. Il est à noter que ces « feeds » ne sont pas bloqués à la frontière et donnent aux Canadiens à l’étranger à ses différents contenus radio. Bravo! Voici le modèle.
Cette politique de blocage des contenus canadiens à la frontière nous fait régresser de 20 ans. Auparavant, il était très difficile d’avoir des contenus canadiens à l’étranger à l’exception de Radio-Canada International qu’on pouvait capter sur les ondes courtes.
Puis, il y a eu la période de gloire des satellites où les Canadiens abonnés au Canada pouvaient avoir accès aux États-Unis, au Mexique et dans les îles avec une coupole et leur décodeur aux contenus pour lesquels ils payaient. Ne reste plus que Shaw Direct qu’on peut encore capter partiellement presque illégalement. Shaw a annoncé il y a quelques années leur retrait de ce marché. En fait la programmation de Shaw migre vers des satellites qu’on ne peut capter que du Canada.
Sur le câble (ex. : Comcast) aux États-Unis il n’y a que TV5Monde (avec une programmation très peu canadienne et totalement différente de celle à laquelle nous avons accès au Canada). Aucune offre de postes canadiens chez Comcast en Floride par exemple. Plusieurs organisations ont fait des demandes au « Vidéotron » américain, mais il y a fermeture et refus. Ce qui est surprenant car beaucoup seraient prêtes à payer pour avoir accès à un bouquet canadien. On m’a expliqué qu’il y avait des problèmes avec les droits d’auteur… Je ne vois pas pourquoi on aurait des problèmes à diffuser des émissions de TVA aux États Unis alors que partout au Canada on a accès aux émissions américaines de CBS, NBC, ABC …
Cette interdiction de diffusion aux États Unis amènerait peut-être même nos câblodistributeurs canadiens à faire du zèle. Sinon, pourquoi un abonné de Vidéotron à l’extérieur du pays ne peut écouter sur le web les postes auxquels il est bel et bien abonné chez lui avec l’application Illicoweb. Il ne peut pas le faire en dehors du Canada. Pourtant, il est un abonné au Canada et il est authentifié comme Canadien, mais ne peut avoir accès aux contenus pour lesquels il paie.
Nous savons qu’on peut contourner ces blocages à la frontière en utilisant des subterfuges technologiques qui font croire au filtre que l’abonné est au Canada (l’utilisation de DNS et d’adresses IP canadiens). Ces trucs ralentissent toutefois la transmission et occasionnent des lacunes au plan de la qualité et sont-ils légaux?
On peut légalement contourner ces règles avec un appareil installé au Canada entre le décodeur et la télé qui transmet à un abonné des contenus auxquels il a accès au Canada (slingbox). C’est complexe mais ne peut être considéré comme une solution pour tout le monde.
Donc, des États-Unis, si on peut encore pour un certain temps capter les émissions avec Shaw Direct, les seuls moyens de voir les contenus canadiens sont illégaux. Des sites proposent une certaine programmation (ex. : assimilator.net) mais ce sont des sites pirates qui charissent des tonnes de malwares.
Il est curieux qu’il y ait tant de blocages à la frontière pour des services légitimes alors que les contenus du Itunes Store canadien sont accessibles partout dans le monde à ses abonnés canadiens. La même émission que je ne peux écouter sur tou.tv, je peux l’acheter dans le « store ». On fait faire de drôles de pirouettes aux droits d’auteur. Non?
Madame la Ministre, je vous recommande donc:
- d’obliger les diffuseurs généralistes (ceux qu’on peut capter sans abonnement sur les ondes ) à diffuser aussi leurs émissions par des flux sur Internet accessibles pour tous les Canadiens.
- de faire en sorte que de bloquer les contenus géographiquement sur Internet devienne l’exception.
- d’interdire le géoblocage à un abonné canadien dûment authentifié lorsqu’il est à l’étranger (illicoweb, Tou.tv Plus…)
- de conclure une entente avec votre homologue américain, la FCC afin que les cablos américains diffusent nos grandes chaînes généralistes.
Belle Peanut island
Une île.
Une île à Palm Beach, à l’entrée du Lake Worth.
Une île tranquille, île tropicale. On s’y sent comme très loin.
Une belle excursion d’une journée, ou pour quelques jours car il y a un camping.
Une île. Pas de pont. On s’y rend en bateau taxi à partir de la marina de Riviera beach, en embarcation, en kayak. même à la nage à marée base. Nous nous y sommes rendus en zodiac avec des amis. Le rêve!
Pour plus d’info.
Qui sont ces snowbirds qui parlent français?
Quand je mentionne à des concitoyens du Century Village que je viens du Québec, d’aucuns me répondent « Ah! Je suis allé à Montréal en 1967, j’ai aussi visité Québec. J’ai de bons souvenirs! »
Pourtant, beaucoup sont toujours étonnés de savoir qu’en Amérique du Nord, il y a un coin de pays où l’on parle français. Et ils sont doublement étonnés quand on leur apprend qu’on y parle français depuis aussi longtemps qu’on parle anglais à Boston et qu’on a déjà parlé français sur la moitié du territoire américain. Ce qui explique le nombre de villes, de rivières, de montagnes et d’Américains qui portent des noms français.
Champlain a fondé Port-Royal en Acadie en 1604 et Québec en 1608 à peu près en même temps que les Anglais fondaient Jamestown en Virginie . C’était 12 ans avant que les Pèlerins du Mayflower débarquent à Plymouth.
Par la suite les deux peuples ont cohabité, ont échangé, se sont combattus, se sont entraidés. La France voulait faire du commerce alors que les Anglais voulaient s’établir. Leurs relations avec les Amérindiens ont donc été fort différentes. Les uns comptaient sur les Amérindiens pour la fourrure, les autres devaient les repousser pour cultiver.
Beaucoup d’Américains sont d’origine canadienne française alors que beaucoup de Canadiens français ont des origines américaines. Par exemple l’ancêtre de mon épouse est Sarah Allen qui avait été enlevée en 1704 à l’âge de 12 ans dans son village de Deerfield au Massachusetts avec une centaine de personnes. Sarah a décidé de rester au Canada et a fondé une famille avec un Canadien, la famille Lalonde. De même, l’ancêtre de ma mère, Katerine Stevens a été enlevée en 1690 à Bath dans le nord du Maine, pour être amenée à Québec. Elle s’est mariée quelques années plus tard avec un dénommé Paquette. La vie était dure et cruelle à cette époque. Il y a eu des actes de terrorisme semblables de la part des Anglais .
Comme les Canadiens-français étaient alliés avec les Amérindiens on a fait appel à eux pour explorer le « Far-West ». Toussain Chabonneau accompagné de sa femme Sacagawea et de son fils Jean-Baptiste surnommé Pomp était le guide de la mythique expédition de Lewis et Clark.
Montréal comporte une importante communauté juive. Mon interlocuteur de tantôt avait visité Montréal lors de l’Expo 67. Il connaissait bien les chansons du Montréalais Leonard Cohen, avait mangé les excellents bagels et le smoke meat de Montréal qui viennent des émigrés juifs de la fin du 19e siècle. Il ne savait peut être pas que beaucoup de schtreimel portés par nos voisins hassidiques ont été aussi fabriqués à Montréal.
L’histoire des Canadiens français et des Américains est vraiment entremêlée.
Quand vous iriez au DuBois park, que vous entendrez Céline Dion ou Arcade Fire, que vous verrez un film de Philippe Falardeau (The good Lie) ou de Denis Villeneuve (Sicario ) une vidéo d’Adèle (Hello a été réalisé par Xavier Dolan) vous saurez qu’ils sont du même coin Amérique que ces Snowbirds au drôle d’accent.
Dans le marais des gens mauvais on n’a pas vu, mais des oiseaux, gentils oiseaux, dans l’eau, y avait….
Une après-midi merveilleuse aux marais de Wakodahatchee à Delray. Sur des trottoirs de bois, nous circulons dans les marais. L’observation des oiseaux y est aisée. Il y a même des alligators. L’entrée est gratuite mais le nombre de places de stationnement est limité. Cela évite d’avoir trop de visiteurs simultanément. Par temps ensoleillé, tout y est magnifique. On se promet d’y revenir plus tard dans la saison pour y observer les fleurs et les nouveaux migrants.
Palm Beach: Tout droit, à droite à partir de Australian!
Le blanc et le vert, le chaud et le froid ou en fait, le différent
Deux endroits, au même moment. Ça m’amuse ces caméras de sécurité qui permettent aussi de mettre en ligne une image à toutes les 3600 secondes. Par la fenêtre. Pas toujours clauires ces photos. Des fois il y a de la réflexion. Mais c’est une fenêtre ouverte sur le différent. Car dans le blanc et le vert, le chaud et le froid
Snowbirds: Parlons encore télévision canadienne
Mon grand-père… passait ses hivers en Floride, il faisait le deuil de la télé française. Pas de satellite. Pas d’internet. Il suivait ses nouvelles à un poste de radio qui portait une heure d’émission chaque jour. Il pouvait acheter la Presse de la veille dans certaines épiceries.
Tout change. Et parfois pour le mieux.
Et puis il y a eu la télé satellitaire, et puis il y a eu l’Internet.
Il est maintenant possible de visionner ses émissions préférées aux USA.
Le satellite.
La télé satellitaire est sur ses derniers milles. Bell a ré-enligné ses satellites pour ne couvrir que le Canada. Shaw Direct, l’autre diffuseur, a commencé sa migration des vieux satellites Anik vers de nouveaux qui ciblent aussi le Canada et s’arrêtent près de la frontière. Pourtant, il est toujours possible de capter en Floride les ondes des anciens satellites qui portent la majorité des postes francophones en résolution standard. Il semble que les nouveaux services et plusieurs postes en HD soient diffusés à partir des nouveaux satellites.
Ainsi si l’on dispose d’un décodeur activé et d’une coupole adéquatement alignée Sud Ouest à quarante et quelques degrés on se croira au pays.
L’internet peut transmettre des flux vidéos. Il permet de voir certains contenus dans les sites Web des diffuseurs. La plupart des contenus sont toutefois bloqués dès qu’on traverse la frontière.
Beaucoup dans les dernières années se sont connectés au site Assimilator qui diffusait d’une manière inconstante les principaux postes canadiens. Beaucoup on constaté que ce site avait au passage installé des logiciels malveillants bien difficile à enlever.
On peut obtenir un résultat très intéressant avec Kodi. Il s’agit d’ une application pas mal géniale.
On peut installer Kodi sur plusieurs types de systèmes: Windows, Android, Linux, Mac… On peut ainsi l’écouter sur son ordi ou sa tablette ou sur sa télé si on dispose des câbles requis. On peut aussi installer Kodi comme une application sur plusieurs télé intelligentes, ou carrément solo sur une TVBox qu’on se procurera sur Internet notamment chez Amazon .
Ce dispositif fonctionne sous le système d’exploitation Android Kit Kat et peut se connecter en Wifi. On peut y installer les mêmes applications que sur une tablette Android. On y installe ainsi l’application Kodi, ou l’application Slingplayer (lecteur Slingbox). Les deux app sont gratuites. Une connexion internet est nécessaire (wifi ou filaire) , quatre prises usb permettent d’installer une souris ou un clavier, un disque externe qui pourra accueillir la musique, les vidéos qu’on y aura enregistré.
J’aime particulièrement un dispositif ingénieux, le Raspberry Pie qui fait le même travail. On peut y installer Kodi avec le OS Openelec (une version spécialisée de Linux). Il s’agit d’un ordinateur de la taille d’un jeu de carte (35$) qui comporte différents ports (USA, HDMI, Ethernet) et qu’on peut configurer comme on le veut. On achète la carte qu’on protégera dans un boitier de son choix. Le système d’exploitation s’installe sur une carte SD. L’alimentation se fait par un fil micro USB comme ceux de téléphones cellulaires. Le résultat est très rapide. La qualité de l’image est excellente. On peut s’en servir comme d’un ordi avec Linux (Ubuntu Mate) ou n’importe quel autre système disponible. Comme il ne comporte aucune pièce mobile, il ne chauffe à peu près pas. Il peut servir pour la domotique. En ce qui nous concerne, le système Openelec nous simplifiera la vie. Il démarre en 2 secondes et s’ouvre directement dans Kodi. Si le RPi vous intéresse, commencez à vous informer à partir de ce site.
Kodi, qu’il soit installé sur le RPi, un ordi, une tablette ou une TV Box, doit être configuré. J’utilise la liste des flux télé Libretv qu’on installe en suivant le mode d’emploi en ligne. On y trouve des milliers de liens vers des télés, des radios, des diffuseurs de films. On y trouve les flux des télés canadiennes, européennes, américaines. Plusieurs sont géolocalisés, donc bloqués à la frontière (Radio-Canada est bloqué mais fonctionne à certaines heures), certaines ne le sont pas (TVA). On peut s’abonner pour quelques dollars par mois à un service qui se trouve à faire croire que vous vous trouvez au Canada. Ce texte explique le comment et le pourquoi.
Slingbox
Un appareil Slingbox dispose d’entrées audio et vidéo et éthernet (certains modèles ont le wifi) et d’un émulateur infrarouge qui remplace la télécommande. On capture ainsi l’image et le son du décodeur Vidéotron/Bell/Shaw contrôlé avec l’émulateur IR. On la regarde sur un ordi, une tablette ou un dispositif TVBox-Android in Florida. C’est du un/un. La connexion à distance est réelle. Le décodeur s’allume réellement et si on change un poste, le décodeur change le poste réellement, le temps que la commande se rende…
La qualité de l’image est excellente et toujours fonction de la rapidité des deux connections internet.
Le système Vulkano font le même travail.
C’est un peu comme installer une caméra devant la télé à Montréal et avec un dispositif ingénieux changer les postes avec un doigt mécanique… Et ça marche!
Et aussi…
Si vous n’êtes pas du tout habile en technologie et que vous n’avez pas accès à un ami qui va pouvoir vous aider, il y a une offre qui pourra peut-être vous intéresser. Il s’agit de Passe-Partou.tv. Il s’agit d’un kit préinstallé qui permet de voir par « streaming » les différents postes canadiens. On achète la boite et on souscrit à un abonnement annuel (on parle de quelque 400$ pour le kit) . Un abonné m’a dit être bien satisfait. J’ai bien tenté d’avoir des infos techniques mais les responsables ne m’ont pas répondu. Ce qui rend suspecte cette offre. Essayez Kodi qui est gratuit ou Slingbox…
Les effets de la chute de la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain nous amènent à réexaminer les options de téléphonie pour les personnes demeurant plusieurs mois aux États-Unis et à rejeter d’emblée certaines offres.
En effet, il faut les offres des fournisseurs américains sont beaucoup plus dispendieux en raison du taux de change. Une mensualité de 50$ comme le propose TMobile représente une dépense d’environ 65 ou 70$ canadiens. L’offre de RoamMobility est ainsi particulièrement intéressante car vous payez le tout en devises canadiennes.
ROAMMOBILITY
Si vous utilisez fréquemment le téléphone, un abonnement illimité est génial. Vous pouvez appeler de là où vous restez, sur la route (évidemment avec les bons dispositifs mains-libres) sur la plage ou au centre d’achats! Pour une utilisation illimitée, je vous recommande le forfait snowbird de RoamMobility. Je l’ai expérimenté l’année dernière et j’ai été très satisfait.
Tout peut se régler avant votre départ et ce en argent canadien! Vous pouvez prendre le forfait appels locaux et interurbains illimités et textos illimités pour 35$ canadiens par mois ou le forfait pour téléphone intelligent à 50$ par mois qui comprend en plus 4Go de données en 4G (et données illimitées en 2G pour les données supplémentaires). Une boite vocale est comprise dans ces forfaits. Les forfaits snowbird sont d’une durée minimale de trois mois auxquels peuvent s’ajouter jusqu’à 3 mois supplémentaires.
Avec RoamMobility vous aurez un numéro de téléphone local là où vous résiderez mais vous pourrez l’utiliser à peu près partout aux USA (couverture) . Vous pouvez aussi téléphoner vers le Canada directement sans frais . Le seul défaut du service de RoamMobility est que leur site Web n’est qu’en anglais. Il est toutefois possible d’avoir un préposé à la clientèle francophone au 1-888-762-6487 .
Ça vous intéresse? Voici comment ça marche!
- Pour simplifier le tout, vous devez avoir un téléphone , obtenir une carte SIM et acheter un abonnement.
- Vous utiliserez un téléphone déverrouillé:
- Vous avez un téléphone intelligent déverrouillé. Parfait vous êtes en affaire!
- Vous n’en avez pas. Vous devrez vous en procurer un ou faire débloquer un téléphone intelligent que vous pourrez utiliser aussi au Canada avec une carte SIM adéquate. On vend des téléphones déverrouillés au Canada chez BestBuy et même chez Costco. En magasin Costco offre deux téléphones cellulaires déverrouillés (dans la section de l’électronique) dans lesquels vous pouvez insérer deux cartes SIM (la carte canadienne et la carte américaine). Les prix en entrepôt sont meilleurs qu’en ligne.
- RoamMobility offre en spécial cellulaire, carte SIM et 3 mois d’utilisation voix et textos à partir de 105$. On y offre aussi différents ensembles de téléphones intelligents à rabais tout compris .
- Vous avez un téléphone intelligent déverrouillé. Parfait vous êtes en affaire!
- Vous obtiendrez une carte SIM par la poste ou chez Bureau en gros ou les PétroCanada. Vérifiez ici la disponibilité dans votre région.
- Vous choisissez votre forfait, vous indiquerez la date de départ et la durée.
- Vous insérez la carte SIM dans le téléphone cellulaire déverrouillé. Les cartes SIM de RoamMobility sont multiformats.
- Le service entrera en service dès que vous franchirez la frontière.
- Vous conserverez votre numéro de téléphone américain année après année si vous faites un achat par année (ne fusse qU,une seule journée à 2$).
TRACFONE
Si vous utilisez un cellulaire très occasionnellement, si vous ne parlez que quelques minutes par mois, la formule de Tracfone reste toujours intéressante. L’achat d’un téléphone bas de gamme à dix ou vingt dollars et d’une banque de temps vous permettra de passer l’hiver pour moins de 80 dollars. Vous aurez à ce prix environ 240 minutes pour six mois. C’est peu mais suffisant.Il s’agit de prendre deux forfaits successifs de 60 minutes en 90 jours à 20$ (dans ces forfaits, le nombre de minutes est doublé) . Voir les différents forfaits ici. On achète le téléphone aux USA dans le BestBuy ou un Walmart. Je vous recommande de ne pas prendre le téléphone le moins cher qui ressemble à une barre de chocolat, mais un flip. [Chez Best Buy USA : liens vers un appareil flip et la carte 90 jours. ].
FORFAITS AMÉRICAINS DE FOURNISSEURS CANADIENS
Certains fournisseurs canadien proposent un forfait à leurs clients étendant le service aux USA. Pour ce qui est de Videotron, ce forfait coûte 20$ en sus des frais d’abonnement mensuels habituels. Donc pour environ 80$ par mois on obtiendra appels illimités aux USA et 1Go de données. Notez que vous conservez votre numéro de téléphone canadien ce qui peut causer un problème pour les services locaux aux USA.
LES PRODUCTIONS ZOOM : Un service de productions de vidéos web que vient de lancer mon frère

Les productions Zoom offrent également le service de prises et retouches de photos de hautes résolutions.
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