Fév 222015
 

Message de mon coussin Michel Larocque

Voici le résultat de ma démarche que j’ai fait cette semaine au centre des archives de la Seigneurie de Chambly.

Sur place, j’ai trouvé des photos de grand-père Omer Barrière ainsi que son frère Émile, journaliste et responsable du New-York Times à Berlin et Paris.
Plusieurs de clichés ont été prises par Oncle Émile. Je vous joint àa chacune des photos de descriptions auxquelles j’ai ajouté des détails supplémentaires.
Bonne lecture Michel
p.s. Il ne faut pas oublier qu’il existe également un fonds d’archives au nom de Émile Barrière aux HEC de Montréal.

Émile Barrière, 1912 dans une salle de cours à l’école des Hautes Études Commerciales (HEC)

situé alors Place Viger à Montréal.

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FAMILLE ROYALE BRITANNIQUE. – [1914-1918].

Famille royale britannique à l’ambassade britannique à Paris durant la guerre 1914-1918.

De gauche à droite :

le duc de York (futur George VI),

duc de Wales (duc de Windsor),

le roi George V se tenant devant et Lord Derby derrière lui.

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ÉMILE BARRIÈRE : 1918.

Émile Barrière, photographié dans son bureau d’agence photographique à Paris,

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16 rue Bachaumont. Correspondant de guerre, photo-journaliste pendant la Première Guerre mondiale. Il fut un envoyé spécial de l’entreprise de journaux américains William Randolph Hearst.

ÉMILE BARRIÈRE : 1919

Émile Barrière lors de son départ de Paris dans un avion de guerre de l’aviation italienne en juillet 1919, pour un tour d’Europe jusqu’à Budapest en Hongrie, en passant par Berlin, Prague, Vienne, pour aboutir finalement à Padoue en Italie. De retour à Paris par chemin de fer au mois d’octobre 1919. Avant son retour au Canada, au mois de novembre, Émile Barrière fut assez malade; entérite causée par la mauvaise alimentation de ces pays où beaucoup de personnes mourraient de faim. Le marché noir était la seule ressource, mais très cher.

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MEMBRES D’UNE EXPÉDITION ARCHÉOLOGIQUE. – 1925.

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Émile Barrière sur le navire George Washington (le premier) en février 1925, en route pour le Havre

partant de New York.

De gauche à droite, le major Fred Shorey de Montréal, Kellerman, cinéma Pathé, et son épouse, le comte de Prorak et Émile Barrière, membres d’une expédition archéologique en Afrique du Nord.

 

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Départ pour Paris en 1929, de Gaby (Gabrielle Rowan), Émile et Jean Barrière

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après un séjour d’environ un mois à Montréal.

De gauche à droite : Arthur (frère d’Omer)et son épouse Léone,

Félix(frère d’Omer),

Omer(avec sa moustache),

Ernestine(épouse de Félix),

Élisa(soeur d’Omer),

Mme J.A. Beaudry,

Gaby(épouse d’Émile),

Françoise(8 ans, fille d’Omer),

Maurice(fils de Félix),

Mme Rowan(mère de Gaby),

Henri(frère d’Omer),

garde d’enfant avec Jean(fils d’Émile) dans ses bras,

le docteur Albert Beaupré, oncle de Gaby et qui l’a accouchée à Berlin l’année précédente.

Émile n’était pas du groupe ayant fait la photo.

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GABRIELLE ROWAN BARRIÈRE,épouse d’Émile : 1929

Gaby (Gabrielle) Rowan Barrière, dans la salle à manger de l’appartement de Frau Shoen à Spandawerberg, Berlin 1929. Elle est avec Martha, la domestique, bonne à tout faire.

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…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………Les frères Barrière au restaurant Au lutin qui bouffe.

De gauche à droite : Émile, Henri, Omer, Arthur et Félix.

Photo prise le 2 juin 194?

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 Pendant des années, au restaurant Au Lutin Qui Bouffe (753 St-Grégoire), les clients ont leurs photos prises avec le prix le cochon de restaurant, nourrir le petit gars avec une bouteille, tirant en plaisantant sur ??sa queue frisée, généralement agresser pour la caméra que le porc étaient là, un pro avec les paparazzi

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Au parc de conservation Green Cay de Delray

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Fév 052015
 

C’est un bien beau parc où nous avons circulé cet après-midi. Un peu à l’est du Florida Turnpike un peu  au sud du boulevard Boyton Beach, sur l’avenue Hagen Ranch, il y a un centre de conservation pas mal du tout, le Green Cay Nature Center.

Quelques kilomètres de marche  sur des passerelles. Des oiseaux magnifiques, une forêt de cyprès, des marais et des marais. Un superbe endroit fréquenté par des photographes particulièrement bien équipés. Je n’ai pas vu d’alligators qui sont officiellement présents, mais surement occupés à préparer leur souper quand nous sommes passés près de chez eux…

L’accès à ce magnifique parc est gratuit. Il y a de nombreux espaces de stationnements. Deux heures d’heureux calme.

Boucar sous les tropiques

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Jan 132015
 

Je n’avais jamais mis les pieds au Club Tropical avant hier soir. On y présentait Boucar Diouf. Dans les terres, à 15 minutes de la plage de Hallendale, un peu au nord de Miami, il y a une salle pouvant accueillir quelque 300 personnes, où on présente  une quarantaine20150112_165405 de spectacles par année à un public exclusivement francophone. Y passent des humoristes comme Laurent Paquin, Michel Barrette et Mario Jean, ainsi que des chanteurs comme Valérie Carpentier, Marc Hervieux et Claude Barzotti, et l’inclassable conférencier-humoriste-vulgarisateur-animateur Boucar Diouf.

La formule est celle d’un souper spectacle. La salle ouvre ses portes un peu après 17h. 37 tables de 8 personnes nous attendent. Un apéro? Salade. Un choix parmi trois plats principaux (les traditionnels saumon-poulet-pâtes). Crêpe-dessert et café. Pas facile de cuisiner pour près de 300 personnes. Mais on ne va pas au Tropical pour manger (pas plus qu’au Village de la Sagouine qui offre le même concept)…

À 19h30, l’organisateur de ces soirées douces, Jean Forand présente les commanditaires, présente les spectacles à venir, présente quelques vidéos promotionnels puis présente l’invité de la soirée, Boucar!20150112_200423

Je n’avais jamais vu les spectacles de Boucar Diouf, mais je l’entend régulièrement à la radio de Radio-Canada. Je l’ai vu animateur avec Francis Reddy.

Dans son spectacle il offre ses réflexions et ses observation dans une vision scientifique de la vie et une approche sociologique, le tout pimenté de jeux de mots qui me rappellent Sol par moment.

Une présentation généreuse (deux heures et demie avec une pause)  et détendue faisant bouillonner le cerveau. Boucar parle de son Rimouski d’accueil, de sa Gaspésienne ( Ruth de la Baie des Chaleurs!), de son fils de Longueuil (quand-est-ce que tu retournes dans ton pays?). Il traite des questions raciales sous l’angle de l’évolution et de la sociologie avec des observations pointues sur son voisin moyen. L’axe: la reproduction humaine. Pas de gros mots. Pas de cul. Le discours d’un père (savant) à son ti-cul….

On rigole bien avec son spectacle conçu pour les Québécois présenté en terre australe un soir de janvier qui rappelle un soir juillet, chaud, collant et humide. Le décalage est frappant. Quelque 300 Canadiens français comme on disait jadis qui se réunissent le temps d’une soirée toute en français bien loin de chez eux pour  se raccrocher à la vie quotidienne de leur « pays ».

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Le Club Tropical, notais-je enfin , n’offre pas de menu sans gluten – « il y a sûrement du gluten dans la sauce moutarde du saumon » nous a dit la serveuse, même si visiblement il n’y en avait pas beaucoup beaucoup… Le Club Tropical nous aura permis de faire une saucette dans l’esprit de Rimouski avec la compagnie agréable de nos hôtes Danielle et Serge.

Je n’ai qu’un regret, celui de ne pas avoir apporté l’oeuvre récente de mon fils David Jasmin Barrière, son plus récent recueil de poésie surréaliste « La Divine Mitochondrie », que j’aurais aimé remettre à Bocar Diouf qui, j’en suis certain, aurait apprécié.

 

 

Alligators au Everglades Holiday Park

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Déc 302014
 

Sommes allés visiter un parc au début des Everglades.
Intéressant tour de bateau d’une heure à la recherche des alligators.
Le Eveglades Holiday Park offre aussi un petit spectacle où on ouvre la bouche d’un de ces reptiles.

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Comment économiser sur le taux de change ?

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Déc 142014
 

2014-12-12_101347-150x150Beaucoup de snowbirds doivent chaque mois payer les frais d’association, les redevances, les taxes ainsi que les factures d’électricité et d’eau. Ils paient aussi réparations, essence et nourriture lorsqu’ils sont dans leur petit château austral. Toutes ces transactions sont faites en devises américaines.

Ils transfèrent pour qui beaucoup d’argent d’un coup, pour qui progressivement, autour de 10000$ par année et sans doute plus, de leurs comptes canadiens vers leurs comptes bancaires américains. Chaque fois Ils paient des frais de conversion de devises. Il y a le taux de change officiel,celui qui est affiché dans les médias, celui qui monte ou descend chaque jour. Vous savez très bien qu’on ne paie jamais le taux officiel. On paie autour de 3% de plus. Le taux de change majoré d’environ 3%! Avec les cartes de crédit canadiennes c’est pire.

Sur 10 000$ ça fait pas mal d’argent qu’on verse à nos riches institutions financières. Nous pouvons réduire considérablement ces frais.

La plupart d’entre-eux reçoivent les paiements mensuels de pension de la Sécurité de la vieillesse et ceux de la Régie des Rentes du Québec (RRQ).
Il est possible de demander qu’un dépôt direct soit fait dans une institution bancaire au Canada, mais aussi aux États-Unis. Ainsi chaque mois, le Gouvernement du Canada ou la RRQ procédera au dépôt de nos prestations directement dans leur banque américaine. La conversion est faite directement au taux de la Banque du Canada pour les chèques fédéraux. Dans le cas de la RRQ le taux de 0.5%. Et il n’y a aucun frais de transfert.

À ma demande de renseignements, voici la réponse que la RRQ m’a en effet fait parvenir : « Comme la rente sera déposée dans un compte à l’extérieur du Canada, le montant variera selon le taux de change officiel de la Banque du Canada en vigueur lors de la conversion en monnaie du pays, au plus tard cinq jours avant la date du dépôt. Notez que l’établissement financier avec lequel la Régie des rentes du Québec a une entente pour le paiement des rentes à l’extérieur du Canada impose des frais minimaux (pouvant varier autour de 0.5%) pour la conversion des devises. »

Par exemple, en procédant ainsi on se trouve à économiser bon an mal an de 250$ à 300$ pour des transferts mensuels de 800$.

On fait la demande par écrit, une partie du formulaire est remplie par un représentant de l’institution financière et on y joint un spécimen de chèque. Cependant il n’est pas possible de demander un dépôt partiel, pour clarifier, vous pouvez demander un dépôt complet dans une banque américaine pour un conjoint, et un dépôt dans une banque canadienne pour l’autre conjoint, la restriction d’un dépôt partiel s’applique à chaque dépôt et non pas à tous vos dépôts. Notez qu’il n’y a aucune question en ce qui concerne les dépôts directs dans le formulaire 8840 américain.

Le formulaire de dépôt direct pour la Sécurité du revenu est ICI et celui de la RRQ pour les résidents du Québec se trouve ICI.

Merci à mon ami Mark Huard pour son aide dans ce dossier

Mise à jour de Mark, 121 avril 2016:

Comme vous le savez, vous pouvez déposer vos paiements de la Sécurité de la Vieillesse dans un banque américaine en $US.  Le taux de conversion est celui de la Banque du Canada, donc le meilleur taux de conversion que l’on peut avoir.  Cependant, ce qui faut savoir, c’est lors de la demande, le système convertira automatiquement votre statut de canadien résident à non-résident, il faut alors s’assurer de demander de faire la modification à l’inverse, c’est-à-dire de demander de modifier le statut de non-résident à celui de résident canadien, de s’assurer que votre adresse est celle du Canada, et de demandé, si vous le désirez, que les impôts fédéral et provincial soient prélevés.  Si vous ne demandez pas la modification, vous recevrez un NR4 (OAS) pour non-résident, au lieu du T4A (OAS) pour résident canadien.  Si vous avez reçu un NR4 (OAS) pour 2015 (ce qui est une erreur), vous n’avez qu’à inscrire les informations sur la même ligne que pour les paiements de la Sécurité de la Vieillesse.  Téléphoner ensuite au 613-957-1954 pour modifier ( une fois pour toutes) vos informations dans le système de la Sécurité de la Vieillesse (si la personne ne sait pas comment faire, demander lui de contacter sa ligne d’assistance, c’est un service à l’interne des agents à Service Canada), ce qui vous assurera de recevoir le bon relevé d’impôt l’année prochaine.  On ne peut changer le relevé d’impôt émis pour 2015, mais cela ne change en rien sur la manière de déclarer vos impôts. Source: Mark Huard

 

Photos du téléphone

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Nov 262014
 

Voici quelques photos récentes prises avec le téléphone Samsung S3 Mini sur le train (aservice Auto-Train de Amtrak) et rendus in Florida. La qualité est assez bonne et comme on a ces appareils sous la main,  ils peuvent nous dépanner. Éviter autant que possible d’utiliser le flash. Un bel exemple est la photo de la grenouille, je me suis appuyé pour stabiliser la prise de vue.

Téléphonie pour les snowbirds

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Nov 152014
 
Plusieurs me demandent de leur recommander un service téléphonique pour leur séjour prolongé en Floride. En résumé voici là où j’en suis dans mon étude des différentes possibilités.
Pour celui qui ne veut qu’une ligne terrestre. Le mieux c’est l’utilisation d’un téléphone internet en VoIP. Donc MagicJack ou VoIP.ms pour les plus technos( c’est ce que j’utilise )
Pour un service illimité par cellulaire (appels et textos  illimités aux USA et vers le Canada) c’est le plan snowbird de RoamMobility qui à 20$ par mois est le plus économique. J’essaie ce service depuis les douanes. Ça fonctionne bien. C’est évident qu’en déplacement le service est inégal. En train il coupe mais dans la vue de tous les jours recevoir et faire appels et textos partout où l’on va c’est ce qu’on veut. Pour bénéficier du plan 20$ par mois pour un minimum de 3 mois (40$ pour le plan avec données) on doit avoir un téléphone débloqué et une carte sim de Roam ou leur téléphone style BlackBerry à 50$. Vous pouvez acheter cartes sim et appareil au magasin dutyfree aux douanes et ouvrir le compte par la suite par internet.  Pour 70$ vous pouvez commander le téléphone et 3 mois de téléphonie. Je bénéficie cette année d’une commandite de Roam Mobility pour tester leur produit et j’en suis très satisfait.
Pour celui qui veut un téléphone cellulaire pour les urgences et les appels occasionnels le meilleur est le Tracfone à 10$ par mois.
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