Suis en train de terminer la lecture de The Broker de John Grisham.
J’aime Grisham. Et quand j’adopte un auteur, je le suis. Grisham tout comme Crichton, j’ai lu la série complète…
Dans The Broker, Grisham ne m’a pas déçu. Un avocat véreux, lobbyiste à Washington s’est fait pincer et encourre une peine de prison dans un établissement à sécurité maximale. Washington a un président pas futé pour cinq cennes, qui dans sa dernière heure au pouvoir accepte d’accorder son pardon à quelques personnes dont l’avocat. Pourquoi?
La CIA expédie le prisonnier gracié en Italie. Ce dernier aboutit à Bologne et encadré par une équipe apprends à vivre. À vivre comme un Italien. Il apprend la langue, les coutumes.
Question de survie.
Différents pays veulent sa peau…
Je ne suis pas pour vous donner le punch…
Beau livre, belles valeurs, comme toujours chez Grisham.
Il décrit Bologne d’une manière fort intéressante. Un peu comme dans Une année en Provence, on se laisse vivre dans un coin de pays, et à le découvrir au fil des jours.
On apprends un peu l’Italien aussi au même rythme que le personnage principal.
À lire! La version originale vient de sortir. La traduction suivra cet été sans doute…
The lezione-a-piedi-lesson on foot-continued the next day when Marco revolted after an hour of tedious grammar straight from the textbook and demanded to go for a walk.
« Ma, deve imparare la grammatica, » Ermanno insisted. You must learn grammar.
Marco was already putting on his coat. « That’s where you’re wrong, Ermanno. I need real conversation, not sentence structure.”
« Sono io l’insegnante. » I am the teacher.