Au Bolerama

Un Bolerama. Les fanas de la coquille! N0us sommes passés au Bolerama un frais samedi de fin d’été.

Il y avait 109 coquilles. Il y avait bien 110 inscription, dont la nôtre, mais comme nous n’avons pu qu’y passer sans notre Trillium…

Vous le savez, je possède depuis plusieurs années cette drôle de roulotte en fibre de verre datant de l’année des Jeux Olympiques de Montréal. Durables ces coquilles. 109 ici au camping de l’île du Fort à Perreville dans le Centre du Québec sur les bords du lac St-François. Beau camping surpris par l’invasion.

C’est kitch parfois, design, bricolo ingénieux souvent, mais toujours des gens sympa qui ne se prenne pas au sérieux. Il y avait même Tom Young l’actuel fabriquant californien des Trilliums neuves, neuves, avec son modèle 15 pieds 2011  qu’il vend dans les 20k

On a revu des campeurs qu’on avait rencontré dans nos voyages passés. On a rencontré des lecteurs de ce blogues. On s’est venté (le on qui devrait être un je) des trouvailles récentes, de la fameuse cire du Loews (ici vendue au home dépot sous el nom de Zep ais-je appris) qui redonne jeunesse aux vieilles peaux de fibre devenue poreuse…

Fascinants balbuzards

Ces oiseaux de proie, ces aigles pêcheurs, ceux que nos amis anglos nomment « osprey », me fascinent.On les voit pêcher devant le Cap Lumière. Ces jours-ci ils enseignent aux jeunes balbuzards le vol et la pêche. Fascinant dirait Charles Tisseyre…

Le balbuzard avec sa prise devant les éoliennes de l’île du Prince-Édouard.

Au pays de la Sagouine

Pluies, aujourd’hui. Visite au pays de la Sagouine. Souper théâtre. Formule très intéressante car pour le prix du souper théâtre, on avait aussi accès au « pays de la Sagouine » construit sur l’île aux Puces.Il y a plusieurs pièces qu y sont jouées. Nous avons assistés à celle du jeudi et vendredi avec Viola Légère personnalisant son personnage de la Sagouine s’exprimant sur les enjeux d’aujourd’hui avec Mariaagélas (une Denise Bouchard pleine d’énergie rappelant  Michèle Rossignol) et Citrouille (Luc Leblanc).

J’avions bien aimé la pièce. Il y avait une profondeur (et une gaieté) qui tranchait de certaines mièvreries estivales régionale À notre table, deux dames de la région (octogénaires dont l’une fut figurante lors d’une pièce il y a quelques années et deux couples de Québec fort sympathiques. Nous avons rencontré auparavant Nicole et Normand des Ahuntsicois aussi en visite et avons fait avec eux la visite du village.

En sortant, l’ajutobus qui avait amené un groupe de Bathust avait pris le fossé… Pas de blessés, mais retour aux petites heures prévu…

La Plage des dunes de Cap Lumière

Tout au bout de la route 505 vers le nord, la route du Cap Lumière, tout juste après le quai, on peut laisser sa voiture pour une des très belles plages.  Le 12juillet l’eau était chaude comme promis. Dans les 65-68F. Las plage est très longue et beau temps mauvais temps elle se marche très bien. Vous observerez au loin , de l’autre côté, l’île du Prince-Édouard et ses éoliennes.

Visiter Montréal- l’île de la Visitation

Lorsque je suis en vacances,  j’aime bien décrire ici mes visites.J’ai un peu de temps libres, ces temps-ci, retraite oblige. Je me propose de faire de même pour Montréal. Voici donc le premier texte d’une série sur les endroits à visiter à Montréal.

On est l’hiver. Un touriste doit absolument quitter le centre-ville pour prendre contact avec la nature québécoise. Le parc de l’île de la Visitation est un magnifique endroit pour le faire.

Le parc est situé sur l’île de Montréal. On y accède en voiture (près de l’intersection Papineau-Gouin) ou en métro (métro Henri-Bourassa, autobus 69  vers l’est, on descend coin Henri-Bourassa et Bruchésie.

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